Il s’agit probablement de la deuxième manière la plus populaire de contribuer (juste après la soumission de bogues). Le commun des mortels souhaite en effet utiliser son ordinateur en employant sa langue natale, et l’absence de traduction rappelle quotidiennement à tous les utilisateurs qu’ils doivent participer s’ils veulent voir disparaître l’anglais de leur écran.
Le contenu à traduire est très vaste et les procédures varient quelque peu selon les cas. Citons notamment:
- les documentations du projet DDP (voir l’article Rédiger de la documentation) ;
- les descriptions des paquets ;
- les pages de manuel ;
- les questionnaires debconf ;
- le site web ;
- et tous les logiciels !
Bien entendu, pour que la traduction soit de qualité (vocabulaire traduit de manière cohérente, bonne typographie, sans fautes d’orthographe/grammaire, …) il faut généralement une relecture par une tierce personne. Bref, traduire ce n’est pas compliqué, mais ce n’est pas aussi simple que cela en a l’air.
C’est pourquoi je consacrerai plusieurs articles à la traduction en me focalisant à chaque fois sur des aspects différents. En attendant, je vous invite à naviguer dans la section du site web qui est dédiée à la traduction en Français.
N.B: En réalité, j’espère que le gourou de la traduction/localisation Debian, un développeur Debian français en plus, j’ai nommé Christian Perrier, accepte de contribuer un ou deux articles introductifs sur le sujet. 🙂
Cet article fait partie d’une série expliquant – par des exemples – comment contribuer à Debian.